dimanche 3 juin 2012

Nariz del diablo, à nous de vous faire préférer le train


Avant de rejoindre Guayaquil, capitale économique et dernière étape de mon périple équatorien, je file vers Alausi dans la Sierra afin de faire un petit tour de manège...
Le Nariz del Diablo est en effet une étape quasi-obligatoire, en tout cas, c'est ce que disent tous les guides. C'est soit disant une attraction, de par la beauté des paysages que le train traverse, et également pour le fameux système d'ingénieurie en zig zag mis au point au début du siècle afin de permettre à ce même train de grimper la montagne.
Le problème c'est qu'aujourd'hui le tronçon ouvert à la circulation est seulement de qq km, certes le paysage est beau, mais un aller/retour sur moins de 15km ne permet pas de voir grand chose. De plus ce qui faisait auparavant le charme de cette "traversée" résidait dans la possibilité de monter sur le toit des wagons, afin de profiter d'une vue à 360°, ce qu'aujourd'hui il est impossible d'envisager vu que les rames modernes sont toutes fermées et entierrement vitrées (après que 2 touristes nippons se soient fait décapités il y a 2 ans ;)
Vous l'aurez compris, le Nariz del Diablo c'est un attrape touriste à la cxxxxx !



Alausi, point de départ du Nariz del Diablo.
 
 

Alausien ?


Anciennes rames, à l'époque les voyageurs se tassaient sur le toit afin d'admirer le paysage.


La montagne sacrée Nariz del diablo.


Pit-stop obligatoire.


Ramon, controleur à la SNCF équatorienne.


Petite danse de bienvenue.
 


Locomotive française! 


Retour vers Alausi.


Sortie des classes. 

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